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jeudi, septembre 29, 2011

Le Barça sans pitié !


Au terme d’une partie à sens unique, le Barça n’a pas rencontré de difficultés pour aller étriller le BATE Borisov (0-5). Un large succès qui doit encore beaucoup à Lionel Messi, auteur d’un doublé.
BATE Borisov-FC Barcelone 0-5
FC Barcelone : Volodko csc (19e), Pedro (22e), Messi (38e, 56e), Villa (90e)
«On va déjà essayer de passer la ligne médiane». Cette phrase du milieu de terrain de Borisov, Filipp Rudik, en disait long sur l’impuissance de son équipe avant même cette partie. Sans jamais y croire, le BATE Borisov s’est largement incliné face à l’intraitable machine blaugrana. Faisant face à un véritable bloc avec deux lignes de quatre repliées très bas, le Barça a dû user de passes courtes pour trouver l’ouverture. Tentant d’abord de faire sortir la défense adverse avec des frappes lointaines (7e, 13e, 17e), les Barcelonais revenaient rapidement aux fondamentaux. Et trouvaient la faille suite à un long centre de Dani Alves qui obligeait Volodko, sous la pression de Messi, à tromper son propre gardien (0-1, 19e).
De quoi lancer le festival. Pedro profitait ainsi d’un caviar de Villa pour doubler la mise de la tête (0-2, 22e), avant que Messi n’en fasse de même devant la grossière faute de main du gardien Gutor (0-3, 38e). Résignés, les Biélorusses continuaient de subir inlassablement et ne trouvaient pas les ressources pour, au moins, s’approcher du but adverse. Le Barça pouvait alors continuer sa démonstration en seconde période et en rajouter une couche par l’inévitable Messi (0-4, 56e). Avec ce 194eme but inscrit, l’Argentin égalait à cette occasion le record du Hongrois Ladislao Kubala, deuxième meilleur buteur de l’histoire du Barça. Les hommes de Guardiola adoptaient ensuite une gestion plus prudente mais cela n’empêchait pas Villa de clôturer la marque, bien servi par le prometteur Thiago (0-5, 90e). Encore une «manita» pour ce Barça trop facile…
Les joueurs du match
Si Lionel Messi a inscrit un beau doublé, concentrons-nous sur la performance de David Villa. Plus que l’Argentin, «El Guaje» s’est révélé le joueur le plus dangereux dans cette partie. Malheureux à plusieurs reprises (26e, 33e, 68e), il a fini par être récompensé de ses efforts dans les dernières secondes.
On n’a pas aimé
Après cette démonstration, on pourra regretter l’excès de prudence de cette équipe de Borisov, symbolisé par ce bloc bien trop bas qui a laissé le pauvre Mateja Kezman seul en pointe. L’ancien Parisien a paru errer comme une âme en peine sur la pelouse du BATE

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